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GESTION DE SINISTRES NON INDEMNISES COMPLEXES ET GRAVES
Un enjeu stratégique pour les entreprises victimes de dommages aux biens
Dans le secteur de l’assurance, la gestion des sinistres constitue l’étape la plus critique du contrat d’assurance. Lorsqu’un sinistre est complexe ou grave, notamment en matière de dommages aux biens, les enjeux financiers, techniques et juridiques s’intensifient, mettant à l’épreuve les garanties souscrites, la réactivité des assureurs, mais aussi les droits des assurés.
Notre cabinet intervient dans la gestion de sinistres sans frais pour l’assuré :
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Contentieux d’assurance
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Situations de non-assurance
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Exclusions de garantie
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Découvert de plafonds de garantie
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Non-conformité des risques assurés
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Blocages en expertise amiable
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Recours sur franchise
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Règlements différés sans facture
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Litiges en copropriété
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Effondrement
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Explosion
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Incendie
1. Qu’est-ce qu’un sinistre complexe ou grave ?
Un sinistre est dit « complexe » lorsqu’il implique plusieurs intervenants (propriétaires, exploitants, locataires, constructeurs, compagnies, experts, etc.), ou lorsqu’il soulève des problématiques techniques ou juridiques particulières.
Il devient « grave » dès lors qu’il occasionne :
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des dommages importants à un immeuble ou à des biens professionnels,
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une interruption d’activité,
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des pertes d’exploitation majeures,
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ou encore un risque de non-conformité assurantielle (exclusion, sous-assurance, aggravation de risque, etc.).
2. Les difficultés fréquentes rencontrées
Dans ces situations, les assurés se heurtent souvent à :
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des délais d’expertise prolongés ou conflictuels,
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des refus partiels ou totaux d’indemnisation,
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des plafonds de garanties insuffisants,
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ou encore des contestations de la validité du contrat (exclusion, non-assurance, déclaration inexacte…).
Cela conduit de nombreux dossiers vers le contentieux d’assurance, une étape où seule une intervention experte et stratégique permet de rétablir l’équilibre.
3. Le rôle de la gestion spécialisée et du contentieux
Face à ces enjeux, il est essentiel d’être accompagné par des professionnels capables de :
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analyser la conformité des garanties souscrites,
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établir une contre-expertise technique,
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engager une action directe contre l’assureur ou un tiers responsable,
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mener un recours amiable ou judiciaire en coordination avec des avocats spécialisés, experts d’assurés, huissiers et sapiteurs.
La gestion efficace d’un sinistre complexe ne s’improvise pas : elle exige une connaissance approfondie du droit des assurances, une maîtrise des procédures contentieuses, et une expérience de terrain dans l’expertise des dommages.
4. Une solution : la gestion déléguée sur résultat
De plus en plus d’acteurs du marché — notamment des entreprises, foncières, syndics ou exploitants — se tournent vers des cabinets spécialisés capables d’intervenir sans avance de frais et rémunérés uniquement au résultat. Cette approche permet à l’assuré d’engager les recours nécessaires sans risque financier, tout en garantissant un haut niveau de technicité.
Conclusion
Dans un environnement assurantiel de plus en plus technique et normatif, la gestion des sinistres complexes et des contentieux d’assurance en dommages aux biens devient un levier essentiel pour la défense des droits des assurés. S’entourer d’intervenants spécialisés est non seulement stratégique, mais souvent décisif pour obtenir une indemnisation juste, rapide et conforme aux garanties souscrites.
CONTENTIEUX D'ASSURANCE
Un levier juridique essentiel pour faire valoir ses droits en cas de sinistre
Le contentieux d’assurance dans le domaine des dommages aux biens constitue un enjeu de plus en plus fréquent en France. Face à la complexité croissante des contrats, à la multiplication des exclusions et à la stratégie parfois restrictive de certaines compagnies, de nombreux assurés – particuliers, professionnels ou copropriétés – se retrouvent en situation de non-indemnisation, partielle ou totale, après un sinistre pourtant déclaré.
1. Quand parle-t-on de contentieux d’assurance ?
Le contentieux d’assurance intervient lorsqu’un désaccord persiste entre l’assuré et l’assureur à la suite d’un sinistre. Ce désaccord peut concerner :
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un refus d’indemnisation total ou partiel,
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une application abusive d’une exclusion de garantie,
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un litige sur le montant de l’évaluation des dommages,
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ou encore une contestation du contrat (déchéance, non-conformité, déclaration inexacte, aggravation de risque…).
Dans le cadre des dommages aux biens, cela peut concerner des sinistres d'incendie, de dégât des eaux, d'effondrement, de catastrophes naturelles, de vol, ou de malfaçons après travaux.
2. Une typologie variée de litiges
En France, les principaux cas de contentieux en assurance dommages aux biens relèvent de :
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la non-prise en charge d’un sinistre au titre d’une garantie souscrite (assurance multirisques habitation ou professionnelle),
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les recours contre les tiers responsables non exercés ou mal évalués,
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le blocage de l’expertise amiable,
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les désaccords concernant le montant de l’indemnisation ou son caractère différé ou conditionné (par exemple : « sur présentation de facture »).
Ces litiges concernent autant les professionnels (commerces, foncières, hôtels, cabinets médicaux, syndics) que les particuliers, notamment en copropriété.
3. Pourquoi engager un contentieux ?
Engager un contentieux permet de :
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contester un refus ou une sous-évaluation,
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contraindre l’assureur à respecter ses engagements contractuels,
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faire appel à un juge pour trancher lorsque l’amiable est épuisé,
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obtenir réparation intégrale, y compris pour les pertes indirectes (perte d’exploitation, trouble de jouissance, etc.).
Bien préparé, un contentieux peut aboutir à une jurisprudence favorable, ouvrant la voie à une meilleure reconnaissance des droits des assurés.
4. S'entourer de professionnels spécialisés
Le contentieux en assurance est un domaine juridique technique. Il est indispensable d’être accompagné par :
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un avocat spécialisé en droit des assurances,
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un expert d’assuré indépendant pour la contre-expertise,
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des juristes capables d’analyser le contrat en détail,
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et, selon les cas, des huissiers, laboratoires ou sapiteurs.
Ces professionnels travaillent de manière coordonnée pour préserver les droits de l’assuré tout au long de la procédure.
En conclusion
Le contentieux d’assurance en matière de dommages aux biens n’est pas un hasard : c’est souvent l’unique moyen de faire respecter les garanties contractuelles. Dans un marché où les polices sont de plus en plus complexes et les assureurs prudents à indemniser, la maîtrise du contentieux devient une arme de protection essentielle pour l’assuré.
SINISTRES NON INDEMNISÉS : UNE RÉALITÉ CROISSANTE POUR LES ASSURÉS
Dans un contexte où l’assurance est censée représenter une protection contre les aléas, de nombreux assurés – particuliers comme professionnels – se retrouvent confrontés à une situation frustrante : un sinistre déclaré mais non indemnisé. Ce phénomène, de plus en plus courant, soulève des interrogations légitimes sur la transparence, l’équité et l’exécution des contrats d’assurance.
1. Qu’est-ce qu’un sinistre non indemnisé ?
Un sinistre non indemnisé désigne une situation dans laquelle un dommage survenu (incendie, dégât des eaux, effondrement, vol, catastrophe naturelle, etc.) n’est pas pris en charge par l’assureur, malgré la souscription préalable d’un contrat censé couvrir ce risque.
Ce refus peut être :
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total : aucune indemnité versée,
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ou partiel : l’indemnisation ne couvre qu’une partie des dommages réels.
2. Les causes les plus fréquentes de non-indemnisation
Les assureurs peuvent refuser d’indemniser pour plusieurs raisons, parmi les plus fréquentes :
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Exclusion de garantie : certaines situations sont expressément exclues du contrat.
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Déclaration inexacte ou omission à la souscription.
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Non-conformité du risque (usage différent, aggravation non déclarée, etc.).
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Déchéance de garantie : non-respect des obligations de l’assuré (déclaration tardive, défaut d’entretien…).
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Absence de preuves ou de facture.
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Application d’une franchise importante ou d’un plafond de garantie dépassé.
3. Les conséquences pour l’assuré
Un sinistre non indemnisé peut avoir des conséquences lourdes :
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Pertes financières importantes, parfois impossibles à absorber.
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Interruption d’activité pour un professionnel ou un commerçant.
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Dégradation du bien non réparée (locaux, logements, équipements).
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Conflit avec l’assureur, voire litige judiciaire.
Dans de nombreux cas, l’assuré se sent abandonné, malgré des années de cotisations.
4. Quelles solutions en cas de refus d’indemnisation ?
Face à un refus d’indemnisation, plusieurs recours sont possibles :
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Demander une révision amiable du dossier, avec l’aide d’un expert d’assuré.
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Mandater un juriste ou un avocat spécialisé en droit des assurances pour analyser le contrat et la position de l’assureur.
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Lancer un recours contentieux, notamment en cas de mauvaise foi ou de désaccord sur l’interprétation des garanties.
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Saisir la Médiation de l’Assurance, dans certains cas.
De plus en plus de cabinets spécialisés proposent une gestion intégrale des sinistres non indemnisés, souvent sans avance de frais pour l’assuré et avec rémunération uniquement sur résultat.
En conclusion
Le non-paiement d’un sinistre peut fragiliser une entreprise, une copropriété ou un particulier. Dans bien des cas, ce refus n’est pas une fatalité : des voies de recours existent, à condition d’être bien accompagné. Une gestion technique, juridique et stratégique du dossier est indispensable pour obtenir réparation et faire respecter les garanties souscrites.
Chers clients,
Nos services ne sont pas encore disponibles pour les sinistres médiant et fréquent mais destinés aux sinistres graves et complexe en dehors de l’Ile de France.
Pour des sinistres fréquent nous vous invitons à vous rapprocher de votre conseil habituel tel que : avocat, comptable ou expert d’assuré.